•                                      UNE HISTOIRE DE ZOMBIES


       J'avais déjà vue une bonne dizaine de fois Je Suis Une Légende, avec Will Smith (obligé de précisé, il est phénoménal) qui est l'un des films les plus génial du monde. Bon euké, ça ressemble pas tout à fait des zombies, ils sont même pas mort, mais on s'approche tout de même de ce type de film!! Genre le truc, il te prend les tripes jusqu'à la fin, des fois ça fait même flipper, et des fois c'est tellement injuste que t'as juste envie de dire... POURQUOI?! Comme la fin, what's the fuck? Je déteste les fin qui sont ni des bad end, ni des happy end, genre c'est un truc entre les deux, tu sais pas trop quoi penser, d'un côté ça fini bien mais seulement pour la suite de l'histoire que nous ne verrons jamais (bref la vie continue quoi), mais d'un autre côté, sur le coup, de ce qu'on peut voir, c'est une very very very bad end. Tu restes sur ta faim! Et en fait, finalement dans ce genre de film c'est ce qui me plaît le plus. C'est l'apocalypse, les morts, les histoires tristes, mais il y a toujours avec ce petit espoir, ces gens qui veulent vivre malgré tout. Et ce, hors de tout les problèmes de sociétés, il n'y a plus que la vie qui compte. Perso, je pourrais pas, j'aurais jamais assez de courage, beaucoup trop peur et de stresse à chaque instant, je me battrais peut-être un peu au début, mais sans réels convictions, bref je me ferais vite bouffer. Bon, mis à part tout ça, il y a bien sûr les combats humain VS zombiesune pure tuerie (lol)! Surtout quand ils sont à deux doigts de crever quand y'a une ruée de bouffeurs de cerveaux qui l'encerclent et qu'ils arrivent par miracle à ce sortir de là! Par contre je déteste quand quelqu'un crève. Et c'est la seule chose qui me fous les nerfs à vifs quand j'regarde ce genre de truc, surtout quand c'est un personnages attachants ou marrants.... (du vécu)

     

    __J'ai commencé à vraiment aimer les zombies il y a plusieurs mois déjà... pendant l'été, quand je me faisais iech, mais au plus haut point. (Genre je vivais plus que la nuit, j'me réveillais à 18h et j'm'endormais le lendemain, parce qu'en vérité, y'a que la nuit où on ne risque pas de crever de chaud à tout moment, surtout que je n'avais pas le droit de sortir, je restais coincée chez moi toute la journée, pendant deux mois)(can you imagine this mierda please?) Enfin bref, une pote m'avait déjà parlé d'une série de zombies, apparemment génialissime, mais j'avais jamais eu le courage de commencer. Puis un jour, je tombe sur une vidéo de Norman qui parle de ça, et du coup je mis suis mise, parce que j'avais jamais vue des zombies aussi bien fait. Je devais télécharger tout les épisodes un par un, c'était grave chiant, et dans ce là, à partir du moment où je télécharge le troisième épisode, ça veut dire que cette série est vraiment trop bien.  Et je restais réveillé jusqu'à 10h du matin, juste pour attendre que mon téléchargement soit finit, parce que si je mets l'ordi en veille, le téléchargement s'arrête... Puis quand j'allais finalement me coucher; non, c'était pas possible, fallait que je vois la suite. Bref vous voyez quoi.  Cette série, c'est bien sûr The Walking of the Dead! Un cataclysme zombiesque.

     

     

    Qu'on soit clair, j'aurais jamais cru que j'allais autant kiffer ma race ce genre de truc. C'était juste un truc de geek, digne du jeu Résident Evil. Et puis en fait...
    _.J'ai regardé par hasard Bienvenue à Zombieland, qui squater la clé usb que m'avait prêter une amie. Et puis là, je suis carrément devenue accro. Comédie + Zombies = Démentiel!! C'est déjanté et totalement fun. Bons moments à passer à coup sûr! Tellement que j'ai même était au cinéma pour regarder Warm Bodies. Et genre, je vais jamais au cinéma, 1) interdit de sortir solo ou avec des potes, 2) payer pour regarder un film que je pourrais voir en bonne qualité gratuitement trois semaines plus tard? LOL. Donc, c'est pour vous dire, parmi tout les bons films d'actions qui déchirent tout et les mélodrames ultra émouvants, bah j'ai préféré regarder un bon p'tit film de zombies hohoho! Et j'ai adoré! Bon, le début c'était pas le top du top c'est vrai, mais une fois plongé dedans c'est trop cool, et pour une fois qu'on a affaire avec une telle fin, c'est super méga ultra niais, mais ça fait plaisir à voir! Et puis le moment où tout le monde se ralie pour la bataille final, épic! Puis le scénario est plutôt original faut l'avouer, même si il aurait peut-être était meilleur de plus creuser dans les personnages secondaires, et aussi de faire des zombies de VRAIS zombies dès le début. Enfin bref! Sérieusement cette touche d'humour tout le long, franchement ça me fait bader!
     
    __Si les vrais films de zombies sont vraiment bien faits, intéressants, font réfléchir, sont super émouvants, let nous font tressaillir, les comédies zombiesques sont carrément coolos et ultra fun. Action/réaction, une bonne dose d'humour, on en redemande encore et toujours! Et la dernière en date, c'était avant-hier soir, Kill Dead Zombie. C'est pas un chef-d'œuvre, mais c'est vraiment un bon moment à passer, et je tiens à vraiment insister sur ce fait. Sauf pour les perso qui meurent... j'ai toujours du mal avec ça, je m'en remettrais jamais... Plus sérieusement, ces comédies sont carrément et tout fait ironique, et au fond, je crois qu'elle ont pour but final de critiquer la société, ou du moins de donner une valeur bien plus moralisatrice qu'elles peuvent laisser penser : c'est la fin du monde et on en rigole, parce que la société qu'on quitte n'était pas de celles qu'on regrette, ou encore : on est sur le point de crever, tout est détruit, le monde est finit, et on se marre bien ensemble, quels sont donc vos problèmes à vous? 
     
     
    Je me suis même mise à pécho les zombies du côté mangas : High School of the Dead est génial haha!♥
    Et du côté roman aussi avec La Forêt des Damnés. HYYYYYYYHYHYHYHYHYHYHYHYHYHYHYHYHYHYHYHYHYHYYYY !

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  •                                                         o2.o2.2o13 - o7.o2.2o13  ONE WEEK IN UNITED-KINGDOM 
     

     
       Commençons par le commencement : il fallait être au bahut à 7h, j'y étais à 7h45 (C'EST MON PAPA QUI VOULAIT PAS SE LEVER PAS MOI, ok?). Premier constat en montant dans le bus : pas la moindre trace d'un éventuel bg avec qui je pourrais éventuellement faire connaissance. Faute de bg, j'ai du faire avec, et mon cerveau constamment à la recherche d'une proie c'est orienté sur le bouffon de service (QUI A UN CUL DE MALADE, JE VOUS LE DIT) : on est d'accord, y'a un truc qui cloche sur sa putain de gueule, mais y'a un truc qui cloche pas (ce qui a fait que deux mois plus tard je sois toujours sur lui, mais ça, c'est une autre histoire). Il a quand même bien participé au fait que mon voyage est été sacrément coolos (hohohoho).
     
    __The moment of the travel c'était à Swansea, aux Pays de Galles (là où on logeait). Moi je voulais trooooop voir la meret même si elle était dégueulasse, c'était tellement cool. Entre midi et deux les profs nous ont laissé partir, et je suis revenue avec ma meilleure amie, marchant au bord de la plage, en chantant Hakuna Matata de toutes nos forces, en souriant et en dansant comme si le monde nous appartenait (comme ça, ça à l'air d'être so cooool, mais on est plus passé pour des K-SOS de première génération qu'autre chose). C'était un autre monde je vous dit, parce qu'on soit clair, si j'étais pas à 1000 km de chez moi et que les gens parlaient la même langue que moi, j'aurais JAMAIS FAIS UNE CHOSE PAREIL.

     

    __La première fois où on nous lâche dans les magasins, à Cardiff, vue que j'ai 50 pounds (mon papa n'est pas un crevard, j'aurais dû avoir 0 pound, oh) j'ai été dans le premier magasin que j'ai trouvé et j'ai gaspillé TROP d'argent pour trois trucs, alors j'ai arrêté de chercher, et quand je suis rentrée une meuf m'a dit qu'il y avait promod juste à côté, j'aurais pu acheté 15 trucs avec cet argent, et j'étais trop dégoûtée de la vie. Bref, l'aprèm' on est allé dans une mine, y'avait tellement de vent qu'on aurait pu s'envoler, et wtf pourquoi on va visiter une mine perdu dans la campagne alors qu'on est au Royaume-Uni bordel de merde? Mais y'a un truc, que genre j'oublierais jamais ôôô grand jamais, à la fin de la visite souterraine, y'a les mecs de la mine qui nous prenaient nos casques et tout, et là ils se mettent pas à chanter comme dans les Simpsons stp? Genre c'est tout à fait NARMOL quoi. J'ai juste trop kiffé ma race, putain de France de merde.
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    __Et puis toujours dans la série "MAIS QU'EST-CE QU'ON FOUT LA?!", il y avait aussi la visite des musées. J'ai jamais visité autant de musées de ma vie sérieux, 4 jours là-bas, 5 musées visité, OK. Inutile de préciser que je faisais ABSOLUMENT RIEN. On regarde que les trucs marrant, on fait des courses, on prend des photos de groupes, on dort, on s'assoit et on discute, on fait n'importe quoi avec les trucs qu'il y a, voilà ce qu'on fait vraiment dans un musée. A un moment on était assit dans le musée maritime (RPZ LA FAMILLE JE ME SOUVIENS DU SUJET OH), et y'a pas un mec qui tient en laisse son fils stp? POURQUOI? Voilà ce qui m'a le plus marqué de tout les musées que j'ai pu visiter. Mais ça, je l'ai pas dit à ma prof.

     

    __Par contre, le truc que j'ai absolument pas kiffé : MY FAMILY. Alors que nos potes sont tous ensemble avec un mec gay trop sympa, nous on se tape des vieux de merde, dans un quartier de merde, dans une maison de merde AVEC UNE DOUCHE MERDE QUI MARCHE PAS (j'ai cru mourir, un coup c'était glacé, un coup c'était brûlant, j'ai réussi à trouvé la technique qu'à la dernière douche, genre je me mouille entre le passage brûlant/glacé, qui dure 5 secondes et où l'eau a une température approximativement adapté à l'humainvoici the technique de merde). Enfin bon, ça aurait pu être pire...

     

    __Et vous savez pas quoi? Je me suis pommée sous la pluie. Genre, on est dans le centre commercial avec ma bande de pote, puis on commence petit à petit à se séparer, et moi je m'arrête dans un magasin et ces fdp me laisse en plan, bref je continue ma route, puis je décide de sortir du centre -> MAUVAISE IDÉE. Je voulais voir les autres boutiques, alors je tourne, je tourne, j'avance, je re-tourne, il est 18h, tout est fermé, j'me dit "PTAIN DE BORDEL DE MERDE", il pleut, mes potes sont pas là, il fait nuit et je commence sérieusement à flipper ma race. Bon, finally je suis toujours en vie et pas kidnappé et pas morte de froid/faim à Bristol because j'ai suivis quelqu'un de mon bus que j'avais soudain vue apparaître (c'est une grosse fin de merde, mais écoutez on est pas dans un film ok?).

     

    __Le pire, c'est à la fin, il me restait 12 pounds, et je voulais absolument les gaspillés, du coup j'ai fait 40 fois le tour du centre ville de Bath en mode marathon pour trouver THE truc qui me fallait, mais j'étais trop en mode stress total pour rien(la meuf trop frustrée dans sa vie), j'ai finis par tomber sur deux hauts totalement magnifique à New Look à 5 pounds chacun (je cherche, je cherche tel une fouine, et je flair toute les bonnes affaires telle mamie au chômage)(tu peux pas test, c'est transmis de génération en génération)(JE SUIS PAS PAUVRE, OK?).
     
    __Le truc le plus tranquille, c'était au port de Caen, à l'allée, où on c'était arrêté donc, c'était la nuit, il faisait froid, j'étais avec ma bande de pote, on courait, on boufait mcdo, on fumait, on riait pour rien, et c'était so couuul. Et mon seul regret, c'est de n'être pas aller au Starbuck, tss (et de pas avoir pu prendre de photo aussi). Puis, genre, on était au Subway, jesais plus dans quel ville, puis je suis la dernière qui commande, et vue mon excellente pratique de la langue anglaise, je mets 10 minutes à commander mon putain de sandwitch parce que I don't want steel, I want fish, do you have fish? et que le mec me répondait TUNA! TUNA! IT'S TUNA! limite il allait péter un plomb (mais il l'a pas fait parce que j'étais une cliente qui allait lui acheté un putain de sandwitch, eh wé), je comprenais pas son putain d'accent, aussi débile que je suis. Bref, du coup j'ai sympathisé avec les deux serveurs hoho, et ils m'ont demandé si cheese ça voulait bien dire fromage, et on a rigolé, ou comment passer pour une grosse débile.
     
    __Plus sérieusement, j'crois que en fait ce qui a été le plus cool, c'était tous ces moments passés avec mes potes, limite le paysage on s'en foutait, on était loin de chez nous et on c'est éclatééé et puis c'est tout! Puis le bus, carrément devenu notre maison. Et ma place au fond (non, je ne fais pas partis des branleurs qui vont toujours au fond), tout le temps retourné (because il y avait ce mec que j'avais remarqué), assise absolument n'importe comment, où on chantait des trucs à la con, jusqu'au moment de revenir au bahut, et je suis la dernière que mon papa vient chercher, bien sûr.
     

     


    POST SCRIPTUM :
     
    L'histoire pourrie d'avant voyage # Il faut savoir que moi, je suis super limitée niveau sortie, (because mes parents sont super méga strict/protecteur)(et j'ai passé l'âge de toute cette sur-protection, hein)(mais bon, it's a very long and bad story) alors pour moi, avoir pu aller aussi loin, c'est genre un miracle. Oui, tout à fait, en exagérant à peine. Au début, j'avais même pas demandé si je pouvais y 
    aller, étant donné que je savais qu'ils refuseraient. Et puis j'ai pris mon courage à deux mains, refus direct sans aucun scrupules. Et même si je n'avais aucun espoir là dessus, j'étais quand même hyper méga ultra déçu. Puis, à la toute dernière heure du tout dernier jour d'inscription, ma mère m'a téléphoné (parce que j'étais en cours) et m'a dit "c'est toujours possible que tu partes en voyage?" MAIS BIEN SUR MAMAN IL N'Y A RIEN D'IMPOSSIBLE DANS CE PUTAIN DE MONDE!! Puis j'ai couru jusqu'à la salle de ma prof d'anglais, deux étages, sourire aux lèves, comme une grosse attardée (j'vais pas vous mentir, moi je cours jamais et quand j'le fais c'est super moche, mais fuck, j'étais contente)(et pressée aussi).
     L'histoire pourrie post voyage  # C'est allé super vite, et enfin de compte, j'étais genre ultra déçu qu'il ne se passe rien de vraiment génial (ok, j'imaginais peut-être des trucs de fous comme dans les films mais quand même). J'sais pas, c'est toujours mieux quand on le rêve que quand on le vit, parce que la réalité n'a rien de magique alors qu'on peut rêver tellement haut et loin (trop de philo). Mais en fait, j'me rend compte que plus les jours passent, plus j'y pense, et plus chacun de ces moments passés là-bas devient complètement extraordinaires. Plus ces souvenirs s'éloignent de mon actuel présent, et plus j'envie cette autre monde où j'étais, je sais pas, il doit y avoir un peu (beaucoup) d'imagination et d'exagération que mon little cerveau a rajouté en compensation des trucs que j'ai oublié. Et d'un autre côté, c'est super triste de se dire que les moments les plus heureux de nos vies nous semblent banales quand on les vit, et que c'est seulement en les revivant à travers nos souvenirs qu'ils deviennent chaque fois un peu plus merveilleux. Parce que du coup, on a cette putain d'impression de ne pas avoir assez profité. Mais basta, ça a été une excellente expérience et c'est génial oh!
     
    (peut-être ai-je légèrement abusé sur la longueur) LOVE ♥

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  • Utopie ~



    _____________________________________S P I R I T E D __A W A Y

     

     
    ___Je sais pas si c'est le meilleur, je sais pas si c'est vraiment un chef-d'œuvre, à vrai dire, je ne sais même pas si c'est mon préféré, genre PRÉFÉRÉ quoi (oui parce que bon, avec Le Château Ambulant, et tout et tout, mon cœur ne sait guère plus où donner de la tête, aha). Mais, deux choses sont sûrs : 1) c'est le premier film d'animation que j'ai vue dont je me souviennes, 2) et c'est une preuve qu'il a quand même émerveillé mon enfance (une preuve oui, parce que franchement, j'me souviens pas de grands grands choses)(mémoire à long terme à chier, rpzzz la famille)(ma famille me renie). Oui bon, puisque je m'en souviens, j'vais vous raconter, heeeeein.
     
    ___Donc, la première fois que je l'ai vue, j'devais avoir sept ou huit ans, bref, y'a longtemps quoi. On était en été, parce que oui, c'est super important de le préciser, pour moi, l'été c'est magique, surtout la nuit, les soirées en familles, entre amis, les anecdotes, les rires, les conneries, les souvenirs, il fait beau, le ciel est magnifique, la vie est belle. Et on retrouve la même ambiance dans ce film. C'était projeté sur un écran géant, sous un ciel merveilleusement étoilé, avec l'air doux d'une soirée d'été, dans la grande place derrière mon ancien chez moi, entouré d'une foule que je connaissais plus ou moins, derrière un paysage qu'aujourd'hui j'ai un peu oublié. Et du haut de mes quelques années, j'ai totalement été absorbé par l'aventure rocambolesque de cette petite Chihiro. Bon. J'ai été absorbé, certes. Mais, voilà. J'ai absolument rien compris. (J'AVAIS SIX ANS, PLEASE)(non, je n'ai absolument pas rajeuni d'un an, bande de boloss, tss.) C'est super space quand même, hein... j'en est même cauchemardé... mais franchement, ce truc, c'est the animation of mon enfance quoi.

     

    ___Au début, c'est tranquille, limite pourrie (comme 99% des débuts, vous m'direz). Et puis, la nuit tombe, et là, VLADAMBOURFBAFATRALALA, ça va à 300 km/h, ça part de tout les côtés, on ressent l'énergie de Chihiro jusque dans nos tripes. D'ailleurs, elle en a de la puissance cette petite, étant flemmarde jusqu'aux os, j'aurais pas accomplit un dixième de ce qu'elle a fait, bien sûr j'serais morte (morte de peur, wé) m'enfin bon. Le temps n'attend personne, alors on court, on vole, on vit. Les couleurs, l'émotion, l'action, tout s'enchaine, on s'ennuie pas une minute. Même les fois suivantes où je l'ai revue, à chaque fois, je comprenais de plus en plus de choses, cette histoire magique m'ouvrait ses portes, une histoire profonde, merveilleuse, parce que du courage et de l'espoir, elle en a revendre Chihiro, puis bien d'autres personnages aussi. Et putain, qu'est-ce que ça m'a fait rêver. Non mais sérieusement, je crois que c'est en grrande partie grâce à ce film que j'ai développé ma passion pour la japanimation.
     
    ___Ok, ça peut faire naïf, adressé seulement aux enfants un peu trop rêveurs, mais moi, à chaque fois que je le revoie, c'est toujours la même magie qui me transporte. L'enfance est merveilleuse, parce que justement, on peut rêver haut et loin. Et pour tout ça, ce film est pour moi est véritable chef-d'œuvre. (vas y goooo philosopher) Et puis, comme si y'en avait pas assez, ils nous rajoutent une putain d'histoire d'amour. Non mais sérieux, c'est juste dingue, Haku, je l'ai kiffer dès l'instant où il est apparu. On sait absolument pas ce qu'il se passe, on est aussi déboussolé que Chihiro, et voilà qu'un mec qui sort de je ne sais où, vient l'aider. Aider. Durant tout le film, ce mot est roi. Ce sont des esprits, des sorcières, des fantômes, des choses qui sortent tout droit de l'imaginaire, mais savez-vous combien peuvent-ils faire preuve d'humanité? Et cet Haku qui ne sait même pas d'où il vient, cette histoire semble si cruel, si triste, mais on ne pleure pas non, on se révolte. Chihiro qui était pourtant la "victime" devient celle qui se bat, celle qui est là, pour lui, et ce souvenir qu'ils ont, comme si ils c'étaient déjà rencontrés, comme si ils étaient liés par un destin, par un sentiment indéfinissable, hors du commun, hors du temps, et complètement incroyable. Mais que demander de plus?

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