• IN THE HEAD D'UNE PSYCHOPATHE BANALE


    Il faut savoir que les BG, qu'ils soient réels ou pas, ont une
    verrrry big place dans ma life. C'est presque le centre de ma
    routine quand j'ai rien d'autre à faire. Et voici donc toutes les
    facettes du BG qui touche de près ou de loin à ma vie.



     


    PREMIER POINT #
     Tout d'abord, et bien sûr, il y a les BG de la réalité. Les BG du lycée, les BG dans la rue, les BG que je connais. Que je vous explique un truc, je suis complètement dépendante des hommes. En fait, je suis TOUJOURS obligé de penser à quelqu'un, de vouloir voir quelqu'un, de réfléchir à comment je pourrais voir ce quelqu'un, de me demander si ce quelqu'un m'a regarder. Je suis inconsciemment en continuel recherche de mon "âme soeur". En fait, mon cerveau analyse chaque BG ou potentiel BG qui passe sous mes 
    yeux, il reste quelques jours, voire quelques semaines dessus, et si il n'y trouve aucun attachement, il passe à un autre, jusqu'à tomber sur THE BG (ou pas) de mon kokoro dont je tomberais amoureuse, puis quand je finis par oublier ce BG, mon cerveau repasse en mode recherche, etc, etc, etc, nous sommes dans un véritable PUTAIN DE CERCLE VICIEUX. Et bien sûr, en mode recherche mon cerveau peut être sur plusieurs mecs en même temps. Et du coup je me pose toujours 143039 questions. Quand j'ai une proie, je fais tout pour qu'elle me calcule, même si au final je l'aime pas, je vais jusqu'à me dépêcher un peu à l'interclasse pour pouvoir l'intercepter à la sortie de son cours (parce que je connais sa salle, bien évidement). Je suis une véritable psychopathe. Et c'est même pas de ma faute... mais j'aime mater bordel!

     

    DEUXIÈME POINT # Comme Hachi dans Nana, et comme je l'ai dit dans mon article de présentation, je rêve d'une SuperMaison, de SupersEnfants, d'un SuperBoulot, et bien sûr d'un SuperMari. Toujours cf mon article de présentation, je crois bel et bien au prince charmant. Non mais sérieusement. Y'a pas longtemps, j'ai été trois jours in the paradise et dans mon hotel, il y avait l'homme de ma life. Mais genre, il avait dans la vingtaine, et c'est trop l'homme parfait, physiquement bien sûr. C'est mon BG du clair de lune (parce que je l'ai rencontré pour la première fois au claire de la lune)(aucun commentaire svp). Qu'il m'a fait rêver ce mec, omg! Je veux pareil, exactement tout pareil. Il avait tellement de classe, waw. Bon, OK, c'est pas super ultra à la mode de rêver d'être une sorte de SuperFemmeAuFoyer, mais, encore et toujours cf mon article présentation, JE VEUX UNE VIE BANALE. J'en serais super vachement heureuse. Agrémenté seulement de quelques petits plus. ENFIN BREF. Je suis du genre à kiffer les trucs à l'eau de rose. Les princes charmants sont les BG dit imaginaire, qu n'existent que dans notre tête.

     

    TROISIÈME POINT # En fait j'crois que c'est un peu relié au deuxième point, les BG semi-réel, genre c'est des vrai gens, mais avec un caractère et une histoire fictive, ça s'appelle des acteurs, bravo. Et voilà ce qui forge notre amour inconditionnel du BG, parce que même si c'est un gros connard, bah c'est quand même l'homme parfait. Mais, précisons-le, je parle ici non pas des acteurs, dans leur vie de tout les jours, je ne suis pas fans des acteurs, je suis fan de leur rôle. Vous savez, ces héros, antihéros, perso secondaire, méchants, qui nous font bader, de par leur histoire, leur classe, leur manies, et out et tout. Prenons City Hunter. Il est trop-beau-trop-fort-trop-intelligent-trop-riche, c'est un héros au cœur vaillant et à l'âme meurtrie. Il est extraordinairement parfait, et c'est trop le mec qui m'a fait rêver à mort. Surtout qu'il joue merveilleusement bien. Bon, ça c'est vraiment le top du top, hein, le mec qui existera jamais dans la vraie vie. Après, y'a ceux qui ont quelques défauts, genre être le plus grand connard de la terre entière, comme Jacky, mais avoir quand même trop la classe.

     

    QUATRIÈME POINT # Alors là, nous passons carrément de la réalité au monde imaginaire mais pas comme le deuxième point, ça reste quand même visuel, nous passons donc de la 3D au 2D. Bien sûr, je me devais de parler de ça, comme toute fan de mangas qui se respecte. On a deux catégories : les mecs sombres et les mecs marrants. Et sur le coup, je crois que c'est le truc qui me fait pire fangirliser. Le dernier en date étant Saizou de Brave 10, le mec froid aux premiers abords et qui se révèlent en fait un guerrier au coeur pur, il a trop de style quoi. Puis y'a Ace, j'avoue que je suis fan depuis qu'Oda nous a sortit ça putain de saison de la mort qui tue (et c'est le cas de le dire...). Parce qu'en plus de nous sortir des types trop fort qui ont trop la classe, ils nous font une putain d'histoire d'écorché vif qui me rende trop sentimentale. Mais le summum de la classe je crois, ça reste Cloud, de final fantasy VII. Ah wé, parce que le film, il nique tout au moment où il apparait, carrément .

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     Est-ce que vous voulez savoir ce que penses une pauvre qui débarque dans une ville de riches? 

     HAPPY NEW YEAR TO CANNES !

    ___Pendant trois jours, c'était le paradis. Dans un hôtel 4 étoiles. Et ce n'est que durant un de mes allers retours Hall/Chambre, que, dans l'ascenseur en direction du 3e étage (j'habite au 4e et je me tape les escaliers tout le temps, fuck the world) que j'ai donc vue ces fameuse quatre étoiles. Direct je me suis dit "ça, c'est trop la classe". Mais vous savez ce qui a vraiment la classe? C'est le bus de ville, like in my cambrousse que je prends tout le matins pour aller au lycée, sauf que là, c'était en direction de Palm Beach. PALM BEACH, QUOI. Genre ça y est c'est des fous ils se sont cru à Hollywood. Non mais en fait, Cannes, c'est comme au Maroc (my origins héhé), sans les milliard de sacs plastiques qui volent et les voitures qui sont en plein tournage de Taxi 5.

     

    Trois jours dans la peau d'une putain de petite bourgeoise.
    ___Quand je me réveillais, le matin, comme une étoile dans mon lit 3m de long sur 4m large, j'appelais direct le room service, juste pour le plaisir d'appeler le room service, parce que vous savez, le room service pour un pauvre, c'est la classe international. Je commandais un jus d'orange fraichement pressé, des chouquettes, des croissants aux beurres et du café. Je me sentais trop supérieure. Puis j'allais me prendre un bain, parce que oui, MOI, j'ai une pitain de douche de mierda chez moi, et que cette pitain d'immense baignoire c'était the paradise, ils me posaient quand même tout les matins le bains moussant sur mon lavabo, y'avait même un chapeau en plastique pour pas se mouiller les cheveux lissé, trop la classe quoi (même si c'est the grosse arnaque, quand j'ai plongé ma tête dans l'eau, ça m'a quand même mouillé les veuch, mais ça m'a fait des putains d'ondulations de la mort qui tue, genre qu'importe ce que tu touches ou ce que tu fais, dans le monde des riches, c'est toujours perfect). Après, j'allais direct à la playa, parce qu'il était temps d'abandonner ma super chambre vue sur parking. Faut savoir que j'allais à la playa, juste pour le plaisir de regarder la merrrrr (en même temps c'était un peu en janvier, faut pas abuser non plus). VAMOS A IBIZA. Les palmiers géants, l'immense paquebot de croisière, la ville sur les collines, les montagnes noires qu'on voyait au loin, les hôtels de luxe c'était vraiment trop magnifique quoi. Ouai, les hôtels de luxe, comme dans les films avec les garde du corps trop baraqué, les limousines, les p'tits bourgeois itout itout, avec l'entrée genre comme dans un palaisJe suis une star. Parce que j'sais pas si vous voyez, mais je marcher là où quelques mois auparavant Johnny Depp et toute la clic ont marché, j'l'ai vue à la tv cet endroit. Après j'allais bouffer. Oui, parce que la bouffe c'est très important. A chaque fois je croyais que j'allais explosé, je me disais "tant pis, je prends la place du dessert, je le boufferais pas" alors qu'il me restait déjà même plus de place pour un verre d'eau, et quand le dessert arrivait, j'me disait "aha, je rigolais, il me reste encore un peu de place, HEIN!".
    ___Et puis, genre, le must du must, comme pour prouver qu'à Cannes tout est absolument parfait : j'ai rencontré l'homme de ma vie quoi. Il était dans mon hôtel, au 5e, il avait dans la vingtaine, et genre, il était juste, mais wahouuuu quoi. Que demander de plus, j'veux passer ma vie avec toi! Bon, c'était que physiquement parfait bien sûr mais, c'était trop le prince de mes rêves. Et c'était genre sooo romantique, parce que je l'ai vue pour la première fois sous les lumières devant le hall, la nuit d'où son surnom ultra recherché : le bg du clair de lune  (no comment). Enfin voilà quoi, c'était juste pour dire que tout est parfait dans cette ptain de ville...

    ___Sous le beau ciel bleue, et le vent doux d'un 31 décembre à Cannes, on sortait en ville. Et inévitablement, je voulais tester le "je suis pauvre mais j'entre dans les boutique des riches pour renvoyer chier les vendeurs en me faisant passer pour une bourge". Mais voilà quoi, le tee-shirt pratiquement à 200 euros et moi ne faisons pas partie du même monde (un jour, on fera partie du même monde mon ptit DON'T WORRIES, wait me). Puis fallait que j'me mette à la hauteur des gens de là-bas, même les p'tits ils avaient 3 ans et 10 fois plus la classe que moi, alors j'essayais d'bien m'habiller avec mes habits soldés à -70%. Et le couché du soleil devant la mer, wahouuuuu quoi. J'pouvais rester 10 ans en train de marcher, la fixant comme une drogué en plein sevrage qui fixe sa cocaïne (bon j'exagère un chouya mais vous avez compris le truc), et puis le soir avec toute les lumières, j'étais sur une autre planète. Et les feux d'artifices! Parce que in my cambrousse, au nouvel an il n'y a pas les faux d'artifices. Y'avait même l'enceinte qui à gueuler "5, 4, 3, 2, 1 BONNE ANNÉEEEE!" et les feux qui éclatés direct à ce moment, trop d'émotions quoi. Je suis repartie avec seulement deux regrets : 1) PITAIN DÉJÀ?!, 2) putain d'appareil photo de mierda qui m'a abandonné alors que j'aurais pu m'afficher une putain de photo de profil on facebook avec la playa en arrière plan, comme si j'étais une riche. Un jour, j'y retournerais, c'est sûûûûr. C'était géniale, carrément dans un autre monde. Oui, parce que maintenant je suis revenue en mode grosse-clochade-geek-larve de la vie, et que ces trois jours loin de mon environnement naturel m'ont semblé irréel... 
     
    Enfin bref, 2013, me voilàààààà ♥♥

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