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    « Personne ne m'attend et personne ne m'entend.
    Je serais seule contre moi-même, et j'ai peur. »
     
     
     

     

     
     
    Je ne sais pas vraiment ce que j'attends. Ni quelqu'un, ni quelque chose en particulier. Je suis perdue en quelque part, assise sur un banc, et je regarde les gens marcher, avancer, reculer, tomber, rire, espérer et puis disparaître. Je vois la nuit tomber, le jour se lever. Je vois des gens à bout de souffle et des gens à bout de tout. Je vois des gens abandonné, et des gens hors du commun qui continue encore à se battre avec une force telle, alors que tout semble perdu. Je vois des choses extraordinaires que ce monde qui part en vrille nous laisse parfois entrevoir, je vois tout ces héros du quotidien qui nous font savoir que cette putain de vie vaut la peine d'être vécu. Je vois les États-Unis en crise, la Syrie en guerre, et je vois des gens se battre contre eux-même. Je vois des Hommes sans scrupule. Je vois ma mère pleurer et mon père hurler au désespoir, mais toujours en silence. Je vois ces gens qui m'ont déçu, ces personnes que je hais. Je vois ces souvenirs qui me font encore mal aujourd'hui, parce qu'inévitablement l'avenir sera sombre à cause d'eux, les souvenirs ne restent pas longtemps, parce qu'ils sont partis et perdus, c'est l'avenir, qui est toujours là, floue, et qui me fait peur. Je vois le présent aussi, ces doutes et ces promesses brisés, ces espoirs vains et ces trahisons sans remords. Je vois ces instants de joie que la vie nous offrent, ces instants de total plénitudes qui nous font oublier le reste, qui nous rappelle à quel point notre vie peut être belle, qui nous réconforte et nous emmène loin. Je vois mes futurs choix, puis je m'énerve toute seule parce que je sais que je n'arriverais jamais à choisir le meilleur, et que je laisse les autres choisir pour moi, parce que j'ai peur de la responsabilité et des conséquences, et parce que je ne fais qu'attendre. Je vois mes anciens choix, en fait, je vois surtout les mauvais, ceux qui ont eu de sales conséquences et qui me rappelle à quel point je suis stupide. Je vois des millions de choses qui me poussent à tout arrêter contre une dizaine qui me hurle de pas perdre espoir à chaque fois que je vais mal, et vous savez quoi, si je suis toujours là, c'est parce que ces quelques petites choses sont si belles, si sublimes et extraordinaires qu'elles écrasent tout le reste aussi nombreuses et dévastatrices soient-elles. Je vois l'espoir, l'amour et la raison, tout en haut des ces choses que j'aime, ces tyrans qui m'ont tant de fois laissés en plan, déçus, que j'ai voulu assassiner, buter, faire disparaître, ne jamais avoir connu, mais sans qui je n'aurais jamais pu faire un seul pas. Ma vie est totalement banale, et je vois les mêmes choses que tout le monde, mais d'une autre façon que la majorité des gens.

     

    Je vois la vie continuer de défiler. Il y a toujours des choix, des instants qui deviendront des mauvais souvenirs, il y a toujours des rires, et les choses continue d'aller là où le vent les mènent, et je continue de vivre tout ça. Mais je me suis arrêter. Je ne suis pas tombé, je ne me suis pas fracasser la gueule non plus, je ne recule pas, et je ne sais dans combien de temps je déciderais de faire autre chose de ma vie que d'attendre, et enfin avancer. En fait ce n'est pas vrai, en réalité, j'avance, puisque toutes ces choses que je vois me font apprendre et comprendre. J'ai des millions de doutes, j'ai des peines, j'essaie de me construire un avenir, je fais tout le temps des erreurs, je suis maladroite, j'ai aucune motivation, j'ai des rêves et de l'espoir, je suis incapable de prendre la bonne décision, et le temps file ainsi, aussi monotone soit-il. Mais chaque seconde qui passe, je ne cesse d'attendre ce truc qui viendra enfin éclairer mon paysage, cette main que l'on me tendra, cette voix qui me dira qu'il est temps de VIVRE. Je ne sais pas ce que c'est, à quoi ça ressemble, si c'est une chose, un voyage, une personne, une décision, ou un même un instant, je ne sais pas quand cela viendra, si je vais devoir attendre toute ma vie pour rien, ou si ça apparaîtra demain, et tu sais quoi, si ça se trouve elle est déjà là, depuis le début, et dans ce cas, j'attends de la voir, et puis si c'est vraiment le cas, je suis aussi la plus grosse débile du monde. Ce qui est sûr, c'est que cette chose merveilleuse que j'attends inlassablement existe en quelque part, et que si elle m'attend aussi, on est bien dans la merde.

     

    Au fond, je ne sais pas si cette chose que j'attends changera vraiment quelque chose à ma vie. Peut-être même que quand je la verrais, je ne saurais pas la reconnaître, et que je serais lassée de la vie pour toujours. Peut-être qu'elle est déjà là et que je m'en rendrais compte seulement quand elle sera partie. Peut-être que cette chose est la somme de tous ce que j'ai accomplis, de toutes mes erreurs, de toutes les choses que j'ai appris, de tout mes choix, de toutes les bonnes et les mauvaises choses, et que je ne le saurais qu'à la fin de mes jours. Peut-être même qu'à force d'attendre un truc qui changera ma vie, je vais passer à côté d'un nombre incalculable de choses qui auraient pu la rendre meilleure. Mais tu sais, je crois que cette chose là, elle se trouve en moi. Que je dois comprendre qu'être heureux ne veut pas dire que tout est parfait, que cette chose c'est en réalité toutes ces petites choses simples qui me rendent heureuse chaque jour, qu'avoir encore auprès de moi des choses qui me font sourir et des gens qui me font pleurer de rire est l'un des trucs les plus merveilleux qui soit, qu'espérer, avoir des rêves et être aimé sont les seules choses qui comptent et que pouvoir repenser à des souvenirs extraordinaires est une immense chance. Mais c'est tellement difficile d'accepter que c'est de notre faute si tout est si monotone, et bien trop souvent, même après toute une vie, on ne s'en rend jamais compte, que le seul obstacle au bonheur c'est nous-même. La vérité, c'est juste que je suis effrayée, j'ai peur des conséquences, de l'avenir, de l'imprévue, j'ai peur de l'inconnue, et de tout ce qui en découle, j'ai peur de tout ce qui peut arriver et tout ce qui n'arrivera pas. Et si je ne prends aucun risque alors il ne pourra rien m'arriver de mal. C'est un mensonge, mais c'est le plus sûr.  Alors, j'attends.
     
     




      

     « Quelques fois, levez-vous en pensant à toutes les choses qui vous rendent heureux, et redites vous : tout va bien. »
     


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  • Un bout de vie

       Je serais certainement un très bon médecin. Parce que si je ne le suis pas, je ne sais plus ce que je suis. J'ai chassé toutes les autres options et je me suis accrochée à ce rêve, par peur de ne pas savoir quoi faire, par peur de ne pas prendre la bonne décision, par peur d'être précipité dans l'océan sans fond du doute. Je me raccroche à ça et balaie d'un revers tout le reste, parce que j'ai enfin, peut-être, découvert qui j'étais. Alors je ne peux pas être autre chose que médecin. Parce que c'est ce que j'ai décidé d'être, ce que je veux être, ce que j'aime être. C'est ce qui s'enfonce parfaitement dans le moulage de ma vie, en ne prenant pas seulement en compte seulement ce que je désire, mais tout, moi, ce que je veux, ce que je suis, ceux qui m'entoure. C'est le meilleur chemin qui relie d'où je viens et où je veux aller. Alors je ne veux pas douter, je ne veux pas penser à autre chose, commencer à m'intéresser aux autres options. Parce que je ne saurais plus qui je suis, et d'un coup mes certitudes tomberaient à l'eau et tout s'écroulerait. Si j'avais un doute, alors je me poserais la question "peut-être qu'il y a quelque chose de mieux pour moi? Peut-être que je ne suis pas la personne que je pensais être?". Et tout s'effondrerait.

       Quand j'ai passé ma journée à travailler, le soir, avant de m'endormir, je suis fière. Je suis fière de moi et heureuse. Travailler m'élève, travailler me permet de me construire, et ce n'est qu'en travaillant dure, en frôlant mes limites, que j'ai l'impression de découvrir enfin qui je suis réellement. Et c'est en grande partie pour ça que je veux faire médecine, parce qu'il n'y a rien de plus dure pour le monde. Et il y cette autre partie aussi... la réussite. J'ai toujours eu des bonnes notes, des facilités à l'école, et inconsciemment, avoir des bonnes étaient devenue le seule chose qui pouvaient faire que j'étais aimé, la seule chose qui permettait de ne pas me sentir au-dessous des autres. La seule chose où je réussissais mieux que les autres, la seule certitude, le seule point d'encrage qui me permettait de ne pas me sous-estimé. Mais le lycée est arrivé, et mes premières mauvaises notes avec.

       Le collège a été une période de recherche, de chute, d'échec, de pleure, de dépression, de questions. Si je devais résumé le collège c'est : je me prends des murs. J'apprends, j'avance, et je me prends les murs, j'ai reçu les grosses claques qu'il fallait que je me prenne , par rapport à mon passé, à moi, à mon monde, pour pouvoir grandir, avancer et me construire. Et ça a continué en seconde, et ça ralentie énormément en première -parce que, se prendre des murs, se relever, apprendre des choses et avancer, ça ne s'arrête jamais. En première, j'ai découvert la médecine, la biologie. , et ça a ralentie énormément en première -ralentie, parce que se prendre des murs, se relever, apprendre des choses et avancer, ça ne s'arrête jamais. En première, j'ai découvert la médecine, la biologie. Je me suis découverte. C'était comme l'aboutissement de tout le chemin que j'avais parcouru jusqu'à lors, de tout ce que j'avais appris sur moi et sur le reste. En première, j'ai appris à aimer l'école, à aimer ce que je n'aimais pas. En fait, ce n'est pas ça, c'est plutôt que j'ai appris à m’intéresser aux choses qui à priori m'avait toujours rebuter. Apprendre à m’intéresser aux choses, à comprendre pourquoi elles sont comme ça, à essayer d'aimer, ça a ouvert une porte en moi, ça a changé quelque chose qui m'a changé pour toujours. 

     Un bout de vie

     J'ai appris à prendre du recule, à laisser sa chance à tout ce qui passe sous mon nez, à relativiser, j'ai appris à comprendre, j'ai appris à essayer, j'ai appris que l'échec n'était pas la fin, j'ai appris que j'étais toute petite mais que j'étais capable de devenir très grande, j'ai appris à aimer ce que j'ai. J'ai compris d'où je venais, pourquoi je faisais les choses que je faisais, j'ai compris qui j'étais. J'ai compris un certain nombre de chose sur la vie. Et la médecine s'est imposé à moi. Je l'ai choisis au début, certes, mais elle m'as conquis, au fur et à mesure, elle s'est parfaitement emboîté en moi. J'aime travailler. J'aime ce qui semble difficile. J'aime l'idée que je pourrais y arriver. J'aime la bio. Putain qu'est-ce que j'aime la bio ! J'aime découvrir à quel point tout est parfait, à quel point notre monde est incroyable. Mais le plus important, c'est que j'aime l'idée de pouvoir tester mes limites, de pouvoir me battre pour quelque chose que je veux, d'avoir une chance de réussir. J'aime me battre pour réussir. Et dans ma tête, tout a alors changé.

       J'ai appris que rien n'était une fatalité, que rien n'était encore joué pour moi, que je pouvais avoir une belle vie, que les horreurs passées n'avaient rien avoir avec moi, et que je pouvais réussir, que même si je tombais, ce n'était pas grave, je pouvais me relever, encore et encore, parce que rien n'était une fatalité. Et puis, et puis le soir après avoir bien bosser, après avoir rie un peu avec mes parents, parler avec mes amies, et prier, il n'y a rien qui puisse me rendre plus heureuse, plus fière, et plus sereine. Je me sens alors vivante, et surtout moi même. Je me sens à ma place. Je me sens bien.

       Et putain, je sais qui je suis. Je sais qui je suis et je sais ce que je veux, et qu'est-ce que ça fait du bien. Je ne suis pas une bonne à rien et je suis capable de faire de grandes choses. Alors, il ne faut pas se détruire à la moindre erreur, il ne faut pas abandonner au moindre coup dure en se disant "mais je croyais être passée au dessus de ça", parce qu'on est en perpétuel avancement, parce qu'on se prends toujours des murs, et que rien n'est jamais tout à fait acquis, comme la science, on a toujours à apprendre.

       Je sais qui je suis et je sais ce que je veux, c'est pour ça que je repousse toutes les autres options, non pas par peur de perdre ce qui semblait être une certitude, mais pour ne pas choisir quelque chose où je ne me reconnaîtrais plus. Tu m'as fait mal tu sais, à ce moment là, il y a une semaine maintenant. Tu as touché ce qu'il ne fallait pas. Tu m'as insulté, m'as humilié, sur tout ce qui était déjà fragile, tu m'as rabaissé alors que je ne me pensais déjà pas à la hauteur. C'est pour ça que j'ai pleuré. J'ai aussi pensé à maman et à ce qu'elle m'avait dit quelques heures plus tôt "j'en peux plus, je sais plus quoi faire, pourquoi mes enfants sont comme ça?". Et je me suis effondrée. Mais ce que je suis, ce que j'ai construit est sur des bases solides, et c'est pourquoi je suis forte aujourd'hui, c'est pourquoi je me suis reprise.

    Un bout de vie

     

        Et tu m'as dit que je n'avais pas d'amis, ou du moins, que des faux amis. Et ce genre de chose a toujours été très difficile. La pire année de ma vie en a été la conséquence, et d'aussi loin que je m'en souvienne, l'amitié, mon rapport aux autres, l'amour des autres a toujours été la causes des pires moments. Parce que la solitude fait remonter tout le reste : à quel point tu es une bonne à rien, à quel point ton future est glauque, à quel point tes problèmes sont profonds et nombreux. Et en fait, je ne vais pas bien depuis le jour où tu m'as dit toutes ces conneries parce que c'est tout ce contre quoi je me suis battue pour arriver là où j'en suis aujourd'hui. Et alors, toi, tu m'as tout recraché à la gueule comme ça. Et je me suis effondrée. Mais ça va maintenant. Parce que mes fondations sont solides. Parce que je sais et je comprends.

       Alors je me dis que finalement, ces larmes, ça n'avait rien avoir avec toi. Rien avoir avec le moindre sentiments que ssje puisse avoir à ton égard. Et puis, quand je pense à toi, quand l'émotion me submerge rien que de t'imaginer me regarder, alors je me dis que peut-être... Peut-être que, finalement, je suis déjà tombé amoureuse de toi. Peut-être que je t'aime. Mais peut-être seulement. Peut-être. Toujours peut-être. Parce que ça serait bien trop horrible de tombée amoureuse de toi. Tu es le genre de mec qui a détruit nos vies. Et je ne veux pas, je ne veux pas ressentir tout ça pour toi. T'es pas différent des autres. Et si j'ai bien appris quelque chose, c'est que les douleurs qu'on ressent, le bonheur qu'on s'imagine, n'est ni fatal ni éternel, ce sont au contraire, que des futilités, des détails qui ne décrivent en aucun cas ce que nous sommes. Mais il est important de les vivre pour le savoir. Les choses qui avaient tant d'importance finisse par disparaître. Mais pour la première fois de ma vie, j'ai envie de me battre pour ce que je suis. J'ai envie de me battre très très fort, je veux résister pour être quelqu'un de meilleure, quelqu'un que je veux connaître. L'échec ne me fait pas peur. Et je ne suis pas devenue plus courageuse, mais un peu plus forte et surtout : j'ai compris ce que j'avais à faire ici.

     

    " We are the scientists, trying to make sense of the stars inside us. "


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  •                                               • GOD'S GIFT 14 DAYS  - EPISODE 04

       Je ne sais pas où va nous mener ce dramas, si ces 16 épisodes arriveront à nous tenir en haleine jusqu'à la fin, je ne sais absolument pas ce que va donner cette fin, mais une chose est sur : le début est génial. D'entrée de jeu le niveau monte extrêmement haut, et j'espère que la suite ne nous décevra pas!

       Ou plutôt, Lee Bo Young est génial. Cette sincérité, cette réalité qu'on a trouvé chez elle dans I Hear Your Voice se retrouve de nouveau dans ce dramas. A vrai dire, je me suis arrêtée à l'épisode 6 de IHYV, parce que... je sais pas trop en fait. Il me manquait quelque chose. Bref ! Je n'aimais pas tellement le personnage qu'elle jouait dans IHYV. Et c'est très drôle parce que je ne l'ai absolument pas reconnue quand j'ai vue les quelques posters de God's Gift, je ne savais pas qu'elle y jouait. Du coup, une énorme surprise pour moi. Son jeu est tellement prenant, tellement vraie, tellement réel. Il est carrément époustouflant. Durant les deux premiers épisodes, c'est essentiellement elle qui a porté le dramas vers autant de beauté. C'est une femme forte, mais tellement fragile en même temps. Une femme qui a des défauts, qui ne fait pas toujours les bons choix, mais qu'on soutient toujours.

       Le premier épisode est une sympathique entrée en matière, plutôt très comique ! Le début de l'épisode à la façon conte ma beaucoup plu, moi qui aime énormément les histoire fantastique. Han Set Byeol est tout à fait mignonne, et c'est rare que je craque pour les enfants mignons qui jouent dans les dramas mais là,  je loue son sourire totalement mignon !  J'aime qu'elle soit nul en cours, qu'elle fugue , j'aime qu'on voit qu'elle n'est pas la petite enfant parfaite. J'ai adoré sa fraîcheur, son innocence et sa générosité, envers l'adolescent handicapé que joue Baro (dont je ne sais plus le nom...), envers Ki Dong Chan lors de sa garde à vue, envers sa camarade qui ne voulait pas abandonner son chien. D'ailleurs, celui que joue Baro me parait fort sympathique même après avoir vue les trois épisodes suivants, ses scènes sont adorables et j'espère que son histoire sera bien exploité, je l'aime bien ! Cet épisode m'a donc beaucoup plus, même si il a été un peu vite entre toutes scènes qui présentaient les personnages et débuter l'intrigues. En même temps, une semaine en un épisode alors qu'on s'apprête à faire un épisode = 1 jour, c'est compréhensible que ça va vite.

       Bref, c'est clair et net je suis devenue addict dès le premier épisode !

       J'ai un gros coup de cœur pour le personnage de Ki Dong CHan. Dès sa première apparition, j'ai su que ça allait être mon personnage préféré ! Il est drôle, il est sexy, il était un ancien flic super sonic. Il est en mode "je ne vaut rien, alors autant faire n'importe quoi", alors qu'au fond on sait qu'il est quelqu'un de bien. Et puis c'est un héros quoi ! Je pressent un tas de scènes épiques et trop classes ! Et on en a déjà eu droit dans l'épisode 4, entre course poursuite et bagarre ! En fait, je ne saurais pas trop dire pourquoi il m'est si sympathique mais j'ai vraiment craqué pour lui ! C'est un justicier sombre, mais drôle, il est parfait quoi. Par contre, son histoire qui nous ai dévoilé peu à peu elle me brise vraiment le cœur... Les scènes de sa mère, de son frère, de son neveux... Tout est vraiment si triste. Et je trouve qu'elle est bien plus triste que celle de l'intrigue principale, parce que Soo Hyeon, Saet Byeol, elles vivaient bien avant que tout ça arrive, alors que mon Ki Dong Chan a toujours vécu si durement...

       Le second épisode est le plus puissant pour l'instant. Beaucoup plus sombre que le premier. Et c'est à ce moment là que Kim Soo Hyeon (Lee Bo Young) nous a vraiment touché. Toute la scène du train m'a complètement chamboulée. La cruauté sans limites d'un côté, et l'amour poignant d'une mère de l'autre. Et puis quand Soo Hyeon passe à la télé en demande de lui rendre sa fille, et qu'elle fini à genou, mon dieu c'était déchirant... Si l'épisode un avait bien commencé, l'épisode deux se finit sublimement. Un épisode vraiment, vraiment prenant, saisissant, et touchant.

       Et nous voilà lancer dans la course contre la montre dans le troisième épisode, qui est un peu moins bon que les précédents. Mais j'ai été si heureuse quand elle a retrouvé sa fille ! Nous retrouvons une Soo Hyeon apeurée, fragile, qui semble complètement folle parce qu'elle ne pense qu'à une seule chose maintenant : sauver sa vie par tout les moyens. Folle parce qu'elle dit venir du futur, et que bien sûr personne ne la croit. Au début, elle est perdue et essaie de s'enfuir avec sa fille, mais quand elle comprend qu'on ne peut déjouer le destin, elle va essayer de le combattre pour sa fille. Tout est déjà écrit, et si on veut changer ça il faudra en payer le prix. Une vie pour une autre... C'est le début de l'enquête. Ah, et chaque apparition de Ki Dong Chan me plait de plus en plus !

       Le quatrième épisode est remplie d'action et on sent que la course a vraiment débuté et nos deux personnages sont prêts à la commencer avec détermination. J'aime ce côté vraiment très sombre qui en ressort. On a vraiment l'impression qu'un épisode= un jour car les actions s’enchaînent tellement vite qu'on ne voit pas passer l'épisode. Et on nous sert du Ki Dong Chan à gogo et j'aime çaaaaa ! Comme je l'ai dit précemment, les 4e épisode est celui où on voit vraiment le personnage entré en action et avoir carrément la classe. J'ai bien aimé sa scène avec la "prostituée" dans l'appartement. Soo Hyeon est toujours aussi déterminée et prête à tout, la fin de cet épisode est une nouvel fois énorme ! 

       Quant aux autres personnages... eh bien, ils sont appréciables. Je veux dire, le niveau de nos personnages principaux (à savoir la mère, la petite fille et l'ancien flic) montent tellement haut dans mon estime que les autres sont un peu... effacés. Du coup j'ai pas tellement retenue leurs jeux mais bon. Bien que comme je l'ai expliqué plus haut, j'ai adoré la prestation du petit Baro que je trouve juste adorable ! Le seul que je 'aime pas à vrai dire c'est Han Ji Won (le mari). Le jeu de l'acteur est un peu rigide, et je n'aime pas son personnage. Parce qu'il est comme un rival de Ki Dong Chan, et cela suffit à ce que je ne l'aime pas ! Enfin je sais pas si c'est une bonne raison, puisque celui qui joue l'inspecteur en chef, me donne une impression fort sympathique, alors qu'il est aussi une sorte de rival. C'est peut-être seulement parce que j'ai un bon souvenir de Jeong Byu Woon dans A Thousands Time, et ce pas parce qu'il était si bon acteur que ça mais parce que c'est un dramas qui me rend nostalgiquement affectueuse. Bref, j'attend de voir la suite pour juger vraiment des deux personnages que je viens de citer parce qu'on ne les exploite pas tellement pour l'instant ! Ah, et pour parler personnages vraiment secondaires, les apparitions du fère de Ki Dong Chan qui est prisonnier, et de sa mère m'ont touché. Les deux acolytes de boulots qui étaient ave Ki Dongt Chan sont drôles et sympathiques, tout comme le grand-père.

     

       Et si je continue comme ça, on va voir des licornes voler, parce que je suppose qu'on à compris que j'aime ce dramas bordel ! Vivement lundi prochain. ♥♥♥♥♥

     

     


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